La Toyota Yaris Cross est le F-HEV le plus vendu et le plus produit en Europe en 2024
- Sur un marché européen (30 pays = UE + Royaume-Uni + Suisse + Norvège) de 1,2 million de full-hybrides (F-HEV) en 2024 (en hausse de 27,6% par rapport à 2023), les Toyota Yaris et Yaris Cross consolident leur avance sur leurs concurrentes.
- Dans un marché européen qui s’intéresse de plus en plus à ce type de motorisation (encouragée par le groupe Toyota dès les années 2000), notamment en raison d’une offre accrue (Renault, Dacia, Nissan, Hyundai, Kia), le groupe Toyota a décidé de généraliser la motorisation full-hybride sur l’ensemble de sa gamme européenne la plus représentative (Yaris, Yaris Cross, Corolla, CHR, RAV4, Camry, Lexus).
- La part de marché des HEV en Europe atteint 9,3% en 2024 contre 7,4% en 2023 et 7,3% en 2022. Le volume de production de ce type de véhicules a atteint 1,0 million d’unités en Europe en 2024.
- C’est dans ce contexte que les ventes des Yaris Cross F-HEV (160 000 unités) et Yaris F-HEV (142 000 unités), leaders du marché des F-HEV, ont encore progressé en 2024 par rapport à 2023, devançant deux autres modèles Toyota, les Corolla F-HEV (98 000 unités) et CHR F-HEV (85 000 unités). Derrière ces quatre modèles Toyota, l’outsider Renault a fait d’énormes progrès et place quatre de ses modèles : Austral F-HEV (73 000 unités), Captur F-HEV (56 000 unités), Clio F-HEV (55 000 unités) et Arkana F-HEV (43 000 unités).
- Derrière ces quatre modèles Renault, figurent le Toyota RAV4 (42 000 unités), le Dacia Duster F-HEV (36 000 unités) et le Nissan Juke (34 000 unités). Le Nissan Qashqai progresse mais ne fait pas encore partie du Top 15, ce qui ne saurait tarder.
- La MG 3 F-HEV fait une entrée remarquée dans le Top 15 (13ème place), avec 27 000 ventes, devançant le Ford Kuga F-HEV (25 000 ventes) et le Hyundai Kona F-HEV (22 000 ventes). Selon Inovev, les ventes de F-HEV vont continuer à croître au cours des prochaines années, aidant les constructeurs à atteindre leurs objectifs européens de réduction de CO2 court et moyen termes, du moins jusqu’à l’adoption possible de la directive sur la fin des véhicules thermiques en 2035.